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Aventures au Népal
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Modérateurs:ATY001_Jacques, ATY002_Christian, ATY020_Yves, ATY029_Michel, com_press, ATY017_Yoann
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ATY022_Michel
mercredi 01 avril 2015 - 23:30:45
Membre enregistré #133
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@ Jacques ATY01

MA GNI FI QUES les photos

Ton taxi, c'est un payant ou un free ?
Ok pour la peinture...
Merci

Je m'absente jusqu'à mercredi prochain, j'espère que j'aurai le temps de faire mes 2 dernière étapes... à bientôt
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ATY020_Yves
vendredi 03 avril 2015 - 00:48:12
Dir-Tech

Membre enregistré #43
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Messages: 1859
Le taxi est payant : BOEING 737-700 NGX PMDG, pour à peu près 100€...Repaint par mes soins attentifs...Photos extérieures en news sur le site...
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ATY020_Yves
vendredi 03 avril 2015 - 01:52:27
Dir-Tech

Membre enregistré #43
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[C'est ici que commence réellement le roman de ces aventures au Népal]

Indira Ghandi International (VIDP)...

En fait, c'est là que l'histoire commence, la partie précédente du voyage n'étant que du transit banal. Décollage, croisière, atterrissage, décollage croisière, atterrissage...Bref, rien de franchement réjouissant. Pour moi, New Delhi n'est qu'une étape de plus, enfin, c'est ce que je croyais...

Le Hilton est fidèle à sa réputation, classe, luxe et très impersonnel. Les gens ne s'y installent jamais pour plus de deux ou trois nuits, équipages compris. Durant la journée, l’hôtel est quasiment désert. Les voyageurs sont en partance ou en visite de la ville. Quant aux équipages, ils en sont déjà à leurs préparations des vols qui les attendent. Mais les gens se croisent sans se parler, ils se saluent tout juste dans une espèce d'anonymat toujours présent. Que l'on soit à New York, Paris ou New Delhi, la mondialisation a frappé là aussi.

Lorsque je me réveille ce matin, rien dans ce début de journée ne me laisse présager quoique ce soit de réjouissant ou d'excitant, mis à part, bien sûr, ce plaisir toujours renouvelé de voler, de piloter un avion, quel qu'il soit, et même si parfois, cela ressemble fort à de la routine, un boulot quoi...Mais pour rien au monde, je ne ferais autre chose. C'est comme si voler m'apportais une sorte de paix intérieure. Et quoi que de plus approprié que d'avoir cette réflexion dans cet immense pays qu'est l'Inde. Pourtant, cette matinée a tout de même son attrait.

C'est mon dernier décollage avant d'arriver à ma destination, Katmandou au Népal. Je prends mon petit déjeuner dans l'immense salle à manger de l'hôtel où il règne toujours cette ambiance feutrée et où on parle à voix basse pour ne pas déranger les autres convives. Je prépare mes valises et m'apprête à quitter le Hilton, sans avoir oublié de régler ma note...salée, disons-le clairement ! Je prends le sempiternel taxi pour rejoindre l'aéroport qui est à dix minutes de l’hôtel. Cette distance évite de se cogner le trafic aérien de nuit quand on a bien sommeil.

Indira Gandhi International est impressionnant quand on est sur la terre ferme. C'est majestueux, et à l'image de l'Inde, à la fois proche du Moyen Orient et proche de la Chine. Même si l'Inde a sa propre culture, très riche, au demeurant, on ne peut ignorer totalement l'influence des deux voisins. Cela se ressent d'ailleurs plus que cela ne se voit.

Je rentre dans l'aérogare et prends la direction des salles réservées aux équipages afin d'y peaufiner le vol New Delhi - Katmandou avec mon copilote et mes hôtesses du jour. Je regarde l'heure...ça va, je suis dans les temps avec même un peu d'avance.

Sonnerie de portable...Je décroche. "Allo ?...Quoi ?...Combien ?...Le reste de l'équipage est au courant ?....Et je fais quoi là ?...Bon, j'ai pas le choix je suppose ?...Merci de m'avoir prévenu !". Et ça raccroche aussi sec que ça avait sonné, imprévisible ! Et moi, je suis le bec dans l'eau !

Grosse maintenance sur le 737, la pack 1 de la pressurisation a rendu l'âme, la pièce vient directement de Paris, bref, quarante huit heures d'immobilisation. L'équipage rentre sur Paris direct sauf mon copilote et moi-même qui restons sur place, c'est à dire dans l'aérogare, en attendant de nouvelles instructions. La journée commence mal ! Et ma préparation de vol est à mettre au panier sans autre forme de procès.

"Voler est un moyen de transport rapide pour gens pas pressés !". Dicton à ne jamais oublier.

Je ne serai pas à Katmandou ce soir. Je râle intérieurement, mais ça se voit sur mon visage au point qu'une hôtesse de l'aéroport me demande si tout va bien. Je lui réponds dans un anglais dont même une vache espagnole aurait honte que je suis un peu...désappointé. Mais bon, ça me passera.

Et ben non, pas le temps, re-bigophone, en anglais cette fois. C'est la YETI. Encore une tuile en perspective. Ils me demandent de les rejoindre avec mon copilote dans un des bureau de l'aéroport avec tous nos documents officiels (passeport, licences et qualifications...etc...). Je rencarde mon copilote et nous nous rejoignons dans ledit bureau.

Je dois dire que les Indiens ont fait les choses en grand et en luxe (j'sais pas si ça se dit ça). Le bureau, qui ressemble plus à une salle de conférence qu'à un bureau est paré de dorures à l'image de ce que l'on peut voir au terminal 3. Ça impressionne. Ça intimide, même et en même temps, cela reste chaleureux et convivial. Je dois reconnaître que les architectes et les décorateurs on fait un p... de boulot!

Trois personnes, pas moins, nous attendent d'un air accueillant. En ces circonstances, ils pourraient m'annoncer aussi bien une bonne nouvelle qu'une mauvaise, leur attitude serait exactement à l'identique. Voyant notre air interrogatif, une fois les politesses d'usage effectuées, ils nous invitent à nous asseoir et à leurs présenter les documents demandés. Nous nous exécutons sans trop savoir où cela va nous mener, mais si la YETI s'est déplacée jusqu'en Inde, ce n'est certainement pas par plaisir...

[suite sur le prochain post de ma part]

[ Édité samedi 18 avril 2015 - 02:35:55 ]
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ATY020_Yves
vendredi 03 avril 2015 - 02:50:28
Dir-Tech

Membre enregistré #43
Inscrit(e) le: mardi 06 mai 2008 - 00:48:45
Messages: 1859
[suite du post précédent]

INDIRA GANDHI INTL 9h30 locales.

Les documents présentés ont l'air de satisfaire nos interlocuteurs qui ne sont autres que les représentants de la YETI / TARA AIRLINES. Ils nous expliquent qu'ils ont eu vent de nos déboires avec le 737 et de notre désir de rejoindre Katmandou au plus vite. Par vent, je soupçonne la direction d'Atlantic-Sky de les avoir appelé. La suite relève d'un truc inimaginable en Europe, voire même en Occident, d'une manière plus générale.

Puisque notre 737 est immobilisé pour deux jours au moins, ils nous relatent qu'ils sont venus avec un Jetstream depuis Katmandou jusqu'ici afin que nous puissions le prendre en compte et, par la même occasion de pouvoir vérifier notre propre capacité à le piloter dans de bonnes conditions dans cet environnement particulier qu'est la proximité de la chaîne himalayenne. Inimaginable, je vous dis!

Ben, pas tant que ça apparemment, car, par l'immense fenêtre du bureau, je peux apercevoir effectivement un JS41 de la YETI sur le tarmac. Je dois reconnaitre que les designers népalais ont du goût, pas de doute là-dessus.

Nous aurons donc la charge de piloter le zinc jusqu'à Katmandou, l'heure de départ est à notre convenance, pour cause de préparation de vol. Celui-ci se fera sans passagers, hormis nos hôtes, bien entendu, que nous ramenons par la même occasion.

Je profite de la bonne disposition des représentants de la YETI pour les informer que durant notre séjour, nous disposerons d'un pilote hélico expérimenté.
Une étincelle non dissimulée apparait soudain dans leurs yeux.

"Pourrait-il exécuter des vols sous indicatif de la YETI ou de la TARA, nous n'avons pas d'activité hélico au sein de nos compagnies et ce serait une vraie valeur ajoutée en cette période de début de trekking estivale pour tester la formule et ainsi voir si elle est rentable pour nous. Si c'est le cas, nous pourrions alors former nos propres pilotes et pérenniser l'activité."

Ce n'est, hélas pas à moi de répondre à cette question, mais un accord doit pouvoir être possible entre nos compagnie. Je leur fais part de ma réflexion et les invite à contacter la direction Atlantic-Sky. Ils m'informent qu'ils peuvent se débrouiller pour trouver un Puma ou un Stallion et un Jet Ranger pour commencer, ils ont de bons rapports avec les militaires locaux (en les payant grassement sous le manteau, comme dans beaucoup d'endroits dans le Monde). Bonne nouvelle pour nous.

Après les remerciements d'usage, nous prenons congé afin de préparer notre vol vers Katmandou, mais en Jetstream, cette fois. Les paramètres vont être assez différents du vol en 737.

[SUITE AU PROCHAIN POST]

Le repaint du PMDG JS41 au couleur de la YETI est là. Lisez le readme inclus dans l'archive.

[ Édité vendredi 17 avril 2015 - 00:27:21 ]
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ATY001_Jacques
vendredi 03 avril 2015 - 11:51:21

Membre enregistré #4
Inscrit(e) le: jeudi 09 août 2007 - 21:38:56
Messages: 271
Salut, le repaint du Js41 YETI AIR LINE est super, du bon boulot.

Merci
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ATY025_Fredo
vendredi 03 avril 2015 - 14:45:49
Fredo

Membre enregistré #51
Inscrit(e) le: mardi 22 juillet 2008 - 23:24:48
Messages: 1702
Ah enfin une bonne nouvelle.. Il va falloir que je ressorte mes cours qui sont sous la poussiere depuis pas mal de temps.
Je dis ca mais ce n'est peut etre pas moi le pilote experimente !!!
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ATY020_Yves
vendredi 03 avril 2015 - 22:26:00
Dir-Tech

Membre enregistré #43
Inscrit(e) le: mardi 06 mai 2008 - 00:48:45
Messages: 1859
Eh, Fredo, qui veux-tu que ce soit d'autre ?
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ATY020_Yves
vendredi 03 avril 2015 - 23:02:02
Dir-Tech

Membre enregistré #43
Inscrit(e) le: mardi 06 mai 2008 - 00:48:45
Messages: 1859
[Suite de l'histoire]

Alors que je suis en train de préparer ma navigation pour Katmandou, je ne peux m'empêcher de laisser errer mon âme en pensant à ce fabuleux pays. C'est une démocratie, depuis peu, certes, et qui plus est, instable, fragile, encore gangrénée par la corruption. Nous l'avons, mon copilote et moi-même, bien senti durant les négociations de tout à l'heure, notamment à propos des hélicos qui seront mis à notre disposition.

Je soupçonne même le gouvernement Népalais d'être intervenu, plus ou moins directement, dans les différentes négociations entre Atlantic-Sky et la YETI, probablement dans un but d'améliorer l'image du Népal à l'étranger. Ils ont gros à jouer avec un tourisme qui se développe à grand pas et où une concurrence sévère s'exerce.

Mais ce pays est mythique. Le Bouddha serait né au Népal. C'est rigolo de penser que ce pays a vu la naissance du Bouddhisme alors même que la religion la plus pratiquée est l'Hindouisme.
C'est aussi un des pays les plus pauvres du monde avec un salaire moyen annuel de 320 euros.
Et pourtant, c'est un pays riche par sa culture multi-ethnique, et les gens y sont accueillants. C'est pour cette culture et cet accueil qu'il me tarde d'y être à nouveau.

J'ai fini ma préparation du vol. Je ramasse mes affaires et rejoins mon copilote pour lui faire le brieffing. Exposé, discussion sur les options possibles, validation définitive du vol. Allons présenter cela à nos hôtes.

Nous les rencontrons à nouveau dans le même bureau. Nous sommes moins impressionnés cette fois et nous leur présentons notre navigation d'une voix ferme et assurée. Sur ce coup là, nous sommes à la hauteur de notre réputation : sécurité et professionnalisme. Mais cela ne leur suffit pas. Une requête, justifiée par l'environnement extrême du pays, nous est cordialement soumise, sans obligation de l'accepter toutefois. Ils nous demandent de ne pas dépasser le FL140 ou 5000 ft sol afin d'avoir un aperçu de notre capacité à gérer l'avion dans ces conditions, sans toutefois prendre de risques inconsidérés.

Aparté entre-nous. Nous pesons le pour et le contre. Le vol semble possible dans ces conditions, mais pas au-dessus de l'Inde, très stricte en terme de respect des trajectoires et altitude de vol.

Nous en faisons part au dirigeant YETI qui nous remercient d'accepter le défi et nous concède le vol normal au-dessus de l'Inde, les restrictions demandées ne seront applicable qu'une fois passé la frontière.

Nous nous regardons mon copilote et moi avec un sourire. On ne va pas s'ennuyer durant ce vol...Et cela n'arrive pas si souvent que l'on puisse s'amuser un peu, surtout que les risques sont très limités, même à 230-240 nœuds. Un rapide coup d’œil sur la carte et nous modifions en fonction du relief, on fera le reste à vue si la météo le permet, ce qui est notre condition première pour accéder à leur requête. Si cette dernière se dégrade, nous remonterons à un niveau de sécurité aux alentours du FL210 ou 230.

La route complète sera donnée dans le prochain post...


[ Édité vendredi 17 avril 2015 - 00:29:07 ]
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ATY020_Yves
dimanche 05 avril 2015 - 12:33:30
Dir-Tech

Membre enregistré #43
Inscrit(e) le: mardi 06 mai 2008 - 00:48:45
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[Suite de l'histoire]

Nous décidons de partir de New Delhi vers 16h00 locales (11h00 UTC).

Entretemps, Jacques (ATY001) est arrivé à Indira avec le deuxième 737-700 de la compagnie. Il pourra donc nous rejoindre à Tribhuvan dès qu'il le pourra.

Nous profitons du temps que nous avons pour aller voir ce JS41 de plus près et faire une prévol un peu plus poussée. Nous demandons au services de l'aéroport les moyens de servitudes habituels pour cet avion (groupe de parc, balisage...etc...). Ceci nous permettra d'avoir l'énergie à bord et de préparer ainsi l'avion pour le vol prévu.

Alors que nous nous approchons de l'avion dans le véhicule de l'aéroport, nous pouvons admirer une fois de plus la beauté de la livrée Yeti.

Notre route sera donc :

VIDP ALI R460 LKN G598 SMR VNKT

L'arrivée sera une RNAV pour la RWY 02 avec une star SMR. Celle-ci sera délicate à cause du relief.

L'inspection du bord ne présente pas de surprise, l'avion semble très bien entretenu et très propre. On sent même une certaine forme de luxe dans cet avion. L'hôtesse gentiment prêtée par la Yeti nous attendait déjà à l'intérieur. Elle nous propose des coupe de champagne, que nous échangeons contre du jus d'orange (vol oblige).

Visiblement pas au courant, elle est surprise que ce soit nous qui piloterons l'avion jusqu'à Katmandou et semble un peu perturbée par cette perspective. Nous tentons de la rassurer, je ne sais pas si nous y sommes totalement parvenu. Mais elle se fait, contrainte et forcée à cette idée. Au passage, je dois dire que cette fille a un certain charme, voire un charme certain.
Je me risque à lui demander son prénom. Elle me dit s'appeler Shanti. Mes rudiments de népalais me rappelle que cela signifie "la paix". C'est de circonstance en ces temps troublés.

Shanti parle un anglais qui est très compréhensible pour nous et même un peu le français. Elle me dit qu'elle aimerait bien venir en France mais ces moyens ne lui permettent pas, et cela reste donc un rêve, au moins pour le moment.

Nous commençons notre préparation de vol. Nous ne sommes pas dépaysé par le poste de pilotage, qui est strictement identique à celui de notre propre JS41.

[suite au prochain post...]

[ Édité dimanche 05 avril 2015 - 17:35:18 ]
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ATY020_Yves
dimanche 05 avril 2015 - 17:32:12
Dir-Tech

Membre enregistré #43
Inscrit(e) le: mardi 06 mai 2008 - 00:48:45
Messages: 1859
[Suite...]

La mise en route de l'avion ne pose pas particulièrement de problème si on suit la procédure strictement. Nous repoussons et commençons à rouler vers la 27. Cela nous donne l'occasion d’apprécier un peu plus l'étendue de l'aéroport.

Puis, c'est le décollage et la montée vers notre niveau de croisière, sans surprise particulière.

La croisière se déroule sans anicroche au niveau 170. Je surveille de manière constante mes paramètres moteurs et surtout les EGT. Mais à 63% de la puissance, ça ne pose pas de soucis.

L'arrivée sur Katmandou va être sportive, alors je commence à regarder les vitesses à adopter.

Sauf que je n'ai pas pensé à une chose : Je vole vers l'est, donc la nuit tombe plus vite, et il commence à se faire tard. L'arrivée sur Katmandou se fera donc de nuit. J'en avertis mes passagers qui ne s'affolent pas pour autant. Je me prépare en conséquence...

Mais je ne suis pas encore arrivé !

A dix nautiques de mon top of descent, un bruit étrange se fait entendre moteur gauche. Je contrôle, le torque chute, la pression carburant aussi. M.... ! on va se retrouver avec un moteur en moins.

En effet, dix secondes se sont écoulées avant que les alarmes d'arrêt moteur ne sonnent. Arrêt des alarmes, coupure carburant gauche et mise en drapeau progressive de l'hélice. Réajustement de la puissance sur le moteur droit pour maintenir cent quatre vingt noeuds environ. Et on surveille tous les autres paramètres, mais ça ne bouge pas côté moteur droit, seul le gauche est impacté.

Après une descente prudente, nous nous poserons dans ces conditions à Katmandou. Du coup, nos hôtes, impressionnés, nous confient leurs avions sans autre forme de procès et nous assurent de leur confiance, trop content d'avoir pu poser dans de bonnes conditions malgré le moteur en moins.

Ouf, arrivés tant bien que mal à Katmandou, nous souhaitons de connaitre la raison de la panne dès qu'elle sera identifiée.

Nous apprendrons plus tard que la panne était due à un relais défectueux qui a coupé l'alimentation carburant du moteur gauche. Il se trouve que ce relais avait déjà été remplacé, mais pas par une pièce d'origine, mais un équivalent moins cher. Les responsables de cette action et de cette décision ont été remerciés.

C'est dans ce contexte un peu lourd que nous prenons nos quartiers dans un hôtel trois étoiles de Katmandou.

[FIN DE LA PREMIERE PARTIE]



[ Édité lundi 06 avril 2015 - 20:54:37 ]
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